Les Compagnies de Marcheurs
Inventaire des Compagnies de Marcheurs
Nom de la Compagnie | Hanzinne |
|
Nom de la Marche | Marche Royale Saint-Oger | |
Localité | Hanzinne - Florennes - Namur | |
Date de création | 1642 | |
En activité | Oui | |
Jeune Compagnie | Non (il ne s'agit pas d'une jeune Compagnie) | |
Saint | Saint Oger et Sainte Rolende | |
Sortie annuelle | Mai/Juin - Dimanche, lundi et mardi de Pentecôte | |
20/05/2024 | ||
Horaire: |
Messe: 9h30 (Mardi) Départ de la procession: 9h00 Rentrée: Lundi 5h10 (Ste Rolende) - 13h00 (St Oger) |
|
Moment fort: | Rencontre des deux châsses | |
Cassage du verre | Octobre - 1er dimanche | |
06/10/2024 | ||
Nbr de Marcheurs | nc | |
Données liées à l'ARMFESM |
||
Affiliée |
En 1960 sous le numéro 22 Trophée des Marches attribué en 1975 |
|
Contacts |
||
Site internet | - | |
marche.saint.oger (a) gmail.com  | ||
Mise-à-jour | 28/02/2024 | |
Légende: nc: non communiqué; -: non communiqué ou inexistant |
Saint patron
Saint Oger
Epoque | VIIIe siècle |
Sa vie |
Qui est Saint Oger ? Les biographes et les chroniqueurs donnent leur opinion... Saint Oger, honoré à Hanzinne, ou +S+OGIER comme le rappelle ce nom gravé en lettres gothiques très apparentes sur le reliquaire du Moyen Age conservé à la sacristie, est un personnage illustre aux origines controversées qui vivait au VIIIe siècle. D'après un récit écrit au plus tard en l'an 1100, Oger fut un guerrier célèbre qui, converti au christianisme, résolut d'embrasser la vie monastique là où il la verrait pratiquée avec le plus de ferveur. A cette fin et avec l'autorisation de Charlemagne, Oger visita de nombreux monastères pour prendre enfin l'habit de moine, avec son fidèle écuyer Benoît, à l'abbaye de saint Faron de Meaux. Il y aurait terminé ses jours dans la prière et la mortification. Après avoir perdu temporairement les faveurs de l'empereur, il n'est pas impossible qu'Oger ait fait un séjour plus ou moins long dans un monastère car c'était une façon courrante, en ce temps-là, de se mettre en sûreté pour les hauts dignitaires devenus indésirables ou menacés par le vindicte de leurs ennemis. Il semble cependant que ce récit soit plutôt le fruit de l'imagination de certains poètes, trouvères ou chroniqueurs du Moyen Age, étant donné que plus tard, il a été reconnu qu'Oger n'avait fait qu'une courte apparition à Saint-Faron et qu'il serait mort, non pas à Meaux, sous l'habit de moine, mais bien sur un de ses nombreux domaines. Pour d'autres narrateurs, Oger était un valet faible d'esprit qui demeurait en même temps que Rolende (la sainte honorée à Gerpinnes), au château du roi Didier de Lombardie. Touché par la grâce et la sainteté de la jeune princesse, ce pauvre valet lui témoigna un amour pieux mais sans espoir auquel elle répondait seulement par un accueil plein de confiance et de bonté. Après la défaite de Didier, Oger accompagna la famille royale sur le triste chemin de l'exil et c'est ainsi qu'il assista, à Villers-Poterie, à la fin dramatique de Rolende. Il se retira alors au fond d'une forêt où il vécut dans une extase perpétuelle ; après sa mort, il fut inhumé à Hanzinne où ses reliques sont conservées précieusement. Cette émouvante version paraît à peine croyable ; il est peu probable, en effet, qu'un homme de condition très modeste et de surcroît peu évolué, fût-il au service d'un roi, ait pu tenir après la mort de Rolende, le rôle que l'histoire et la légende attribuent le plus souvent à celui qui est devenu Saint Oger. La troisième version est celle qui a cours depuis des siècles à Hanzinne et dans la région. Si, effectivement, on s'en rapporte à la tradition du lieu ainsi qu'à quelques récits d'auteurs anciens et modernes, Oger serait un prince, un duc ou un marquis originaire du Danemark, peut-être même d'Ecosse. Une très vieille miniature, dont une reproduction nous a été remise par le curé Evrard, le représente encore enfant, lorsqu'il fut confié à Charlemagne, par son père Geoffroy de Danemark. S'étant brouillé par la suite avec l'Empereur, Oger se rendit à la cour de Lombardie et c'est là qu'il connut Rolende, citée comme la cinquième fille du roi Didier et qu'il lui témoigna un amour sincère que la princesse ne put accepter car en voulait se donner à Dieu plutôt qu'aux hommes. L'histoire raconte que les Lombards furent vaincus par Charlemagne en l'an 774 et que Didier dut partir en exode vers Liège avec sa famille et le duc Oger. Pendant le pénible trajet, la santé de Rolende s'altéra rapidement ; Oger la consolait et la soutenait de toutes ses forces mais à Villers-Poteries, la malheureuse fugitive mourait d'épuisement. Désespéré, Oger comprit alors qu'il n'aurait plus d'autres joies en ce monde que de se consacrer à la prière et à la méditation ; il se convertit donc au christianisme et on peut penser qu'à ce moment, il soit entré dans un monastère pendant un temps relativement court. Après sa reconciliation avec Charlemagne, il reçut de celui-ci de nombreux domaines et des richesses qu'il distribua aux pauvres ainsi qu'aux institutions monastiques de l'Isle de France. C'est probablement en raison d'une de ces donations que l'abbaye bénédictine de saint Médard de Soissons acquit la terre d'Hanzinne, avec ses dépendances, dont elle fit le siège d'une célèbre Prévôté qui dura dix siècles. Ce récit concorde également avec les données recueillies par Dom Germain Morin O.S.B. de l'abbaye de Maredsous et il figure dans la brochure intitulée " Oger le Danois ", sortie de presse fin du XIXe siècle. Extrait du livre " Saint Oger au rendez-vous des marcheurs ", Légendes et Tradition de l'Entre-Sambre-et-Meuse, Léopold Bertrand, Officier de la Marche Saint-Oger, Membre du Comité Exécutif de l'A.M.F.E.S.M., édité par l'A.M.F.E.S.M., 1974 |
Sainte Rolende
Epoque | Morte vers 774 |
Fête | 13 mai |
Sa vie Sainte Rolende, Eglise Sainte-Radegonde de Villers-Poterie Chapelle Sainte-Rolende - Gerpinnes - "Sartia" Châsse de sainte Rolende - Eglise Saint-Michel de Gerpinnes Centre Source: http://fr.wikipedia.org |
Selon la légende, Rolende était fille de Didier, roi de Gaule. Recherchée en mariage par le fils du roi d'Ecosse, guerrier de valeur et de renom, Rolende s'enfuit du palais royal car elle voulait se consacrer à Dieu et exécuter son dessein de n'appartenir qu'à Lui. Elle erra longtemps et, épuisée, atteignit Villers-Poterie où elle fut bien accueillie. Mais là, au château de Villers-Poterie, elle mourut d'épuisement. C'était en 774. On voit encore dans la chapelle de ce château une pierre sur laquelle est gravée, en lettres gothiques, l'inscription suivante : "hic obiit Virgo Rollendis". Lorsqu'on eut ramené avec pompe la dépouille sacrée de Rolende à Gerpinnes, on la déposa dans l'église, du côté droit, où un mausolée lui fut érigé pour la conserver. Ce tombeau devint si célèbre par les miracles éclatants de tout genre qui s'y opérèrent qu'on y vit affluer une foule innombrable avide d'obtenir la délivrance, soit des infirmités corporelles, soit de l'aveuglement spirituel. On dit que "du corps virginal de Rolende, suintait en grande abondance une huile sacrée dont l'onction guérissait les plaies. Or un homme malveillant jeta par terre l'huile et la fiole qui la contenait ; pour punition de quoi, lui et toute sa descendance eurent de gros nœuds à toutes les jointures des doigts, et l'huile cessa de suinter". C'est au début du XIIe siècle que le autorités religieuses procédèrent à l'exaltation solennelle des restes du saint corps. Longtemps après, cette région fut éprouvée par une très grande stérilité. Survint un plus grand fléau : une mortalité extraordinaire sévit dans plusieurs provinces. Chacun, frappé de terreur, mit sa confiance en la protection de la Bienheureuse Rolende, tous se rassemblèrent autour de son tombeau, toujours célèbre par les miracles, convaincus qu'elle les délivrerait d'un tel fléau et décidèrent que, chaque année, après des jeûnes et des larmes de pénitence, le très saint corps de la Vierge serait porté en grande pompe dans une procession autour des limites de la paroisse. Plus on mit de dévotion à accomplir cet acte de Piété, plus le Ciel et Rolende s'empressèrent de mettre fin à la calamité. Les miracles C'est par ce miracle et par une foule d'autres que cette Bienheureuse Vierge montra qu'elle veillait pour toujours sur ses serviteurs. Voici la relation de quelques miracles traduite vers le XVIIe siècle, d'un manuscrit latin, par Crespin Paradis, curé de Gerpinnes. "Il y a eu quelque fille résidente en ceste Parroiche laquelle avait les genoux tellement courbés que les vestiges de ses talons se voyent à ses reins, estant constituée avecque grande dévotion pardevant le corps Virginal a mérité de recevoir sa santé corporelle." "D'avantage a esté veue (vue) quelque jeune femme, laquelle estait tellement destituée des artères de la voix, qu'elle ne pouvait proférer parfaitement un mot seul, pour ce tous les jours se mettoit en genoux devant l'autel, où elle a mérité d'obtenir l'ouverture de la voix et guérison entière. " "Au mois de julet 1601, Charles Lebenart, aagé de deux ou trois ans, se deulloit et délamantoit disant qu'il avait mal vers ses génitoires, et estant visité par plusieurs personnes, fut trouvé etre desrompu dont pour subvenir à la douleur, sa mère contracta avecque un maistre opérateur pour le faire trancher et le maistre estant arrivé, l'enfant tomba malade, pourquoy cela fut différé pour le péril de la mort dont la mère voyant son enfant endurer une douleur extrême effectua le jour de la procession un pèlerinage et au retour trouva son enfant entièrement guérit." Le reclus révélateur Il y avait un serviteur de Dieu, nommé Engerrand, qui s'efforçait de s'éloigner "corps et âme" de la gloire du monde, nulle et frivole, et qui vivait saintement. Ce reclus, enfermé dans une cellule contiguë à la chapelle où fut trouvé le corps de Rolende, réfrénait là toutes ses convoitises. Rolende lui apparut deux fois pour lui dire de révéler l'endroit de sa sépulture. Une troisième fois, il fut " fortement battu de verges " comme négligent. Hésitant, il est sommé de s'exécuter. Ayant obtenu sa grâce, il obtempéra. Malade, il publia brièvement la vision qu'il avait eue et la cause de sa maladie. Pour donner plus de certitude à sa révélation, il décrivit, de sa cellule, avec un bâton, le contour de la tombe. Saint Oger La mort de Rolende fut douloureuse à l'un de ses valets, Oger, unique confident de la sainte. Oger, sous sa vulgaire enveloppe de domestique, avait peut-être une âme sensible, généreuse, ouverte aux grandes émotions et capable d'enfanter une noble mais réaliste passion. Rolende aimait l'Idéal et lorsque, menacée dans sa vertu, elle s'adresse à Oger, il se croit aimé, il espère ... Et puis, ils s'en vont par les bois et, dans cette fugue périlleuse et difficile, ils puisent l'un et l'autre la vie dans l'amour même. Ainsi les fortunes du destin réunissent, en une troublante intimité, sans qu'ils se comprennent pourtant, deux êtres également épris d'une même passion. Lorsque Rolende mourut, Oger pressentit qu'il n'y avait plus, pour lui, de bonheur possible. Et cet homme jeune, qui pouvait courir à d'autres amours et cicatriser une blessure à peine ouverte, s'enferma dans la désespérance. Il se retira loin, dans la paix des solitudes, but l'eau des roches, se nourrit de racines et de plantes ; il entrevoyait Rolende entourée de splendeurs célestes. Il mourut chargé d'ans et ô merveilleuse puissance de l'amour, lorsque la châsse contenant ses reliques, se joint, à Hanzinne, au cortège de Sainte Rolende pour poursuivre un instant avec elle la route qu'ils ont tous deux parcourue au temps de leur jeunesse et de leur passion, on entend encore les ossements sanctifiés du valet tressauter d'allégresse. Cette légende n'est rapportée nulle part si ce n'est par la tradition. Légende de la Garde d'Honneur Un jour, quelque berger, de la ferme de Villers-Poterie, surpris par une averse, se réfugia avec ses chiens de garde, dans une chapelle érigée en l'honneur de Sainte Rolende. Inspiré par l'esprit malin, il plaça un de ses chiens sur l'autel. Soudain, des mains armées de gaules émergèrent de la muraille, le profanateur fut assailli par une volée de coups qui lui firent de profondes blessures. Il implora le pardon de sa faute et, pour expier sa faute, lui et toute sa descendance - qui fut innombrable - devront, jusqu'à complète extinction, accompagner partout les restes de la bienheureuse. C'est pour cela que deux officiers à cheval, tenant chacun un fanion à banderoles, escortent la châsse durant tout le cours du pèlerinage. La Châsse En l'an 1097, Otbert fit enlever de terre le corps de Sainte Rolende et le mit en une châsse après avoir procédé à l'élévation des reliques. Cette châsse était en cuivre et en argent. Elle fut restaurée en 1399. C'est en 1599, le 13 mai, qu'elle eut sa forme actuelle. Elle est sortie des ateliers de Henri Libert, orfèvre à Narnur. C'est un des plus beaux chefs-d'oeuvre de l'orfèvrerie des XVe et XVIe siècles. La châsse est de style "Renaissance", mais la plupart des ornements appartiennent au Roman. texte provenant du livre Gerpinnes Vade-Mecum |
Reliquaire
Composition
-
- Escadron de Genadarmes à cheval (1er empire)
- Saperie (1er empire)
- Batterie (1er empire)
- Fanfare Royale l'Avenir d'Hanzinne (1er empire)
- Majors à cheval (1er empire)
- Porte drapeau (1er empire)
- Grenadiers (1er empire)
- Drapeau de la Jeunesse et son escorte (Infanterie de ligne de la Grande Armée)
- Major des Zouaves
- Zouaves
- Adjudants, Cantinières, Porte-Fanion et Porte-Chapeaux
Données en date du 05/12/2005
Horaire / Itinéraire traditionnels de la procession
-
Dimanche
- 14h00: Sortie du corps d'office
- 16h30: Appel (Place d'Hanzinne)
- 17h00: Prise des drapeaux (Eglise Saint Georges)
- 17h15: Visite du cimetière
- 17h40: Bénédiction de la Compagnie à l'Eglise Saint Georges
- 18h00: Départ avec la Châsse Saint Oger
- 19h00: Décharge en l'honneur de Saint Oger - Offrande
- 19h45: Rentrée (Place d'Hanzinne)
- 20h00: Remise des médailles
- 00h00: Réveil des Officiers
- 03h45: Appel de la Compagnie au lieu dit "La Barrière", départ pour l'entrée d'Hymiée
- 04h00: Sortie de la Châsse Saint Oger et des Drapeaux de l'Eglise Saint Georges
- 05h00: Accueil de la procession et de la Châsse Sainte Rolende escortée par la Compagnie Sainte Rolende d'Hymiée
- 06h00: Rentrée des Compagnies sur la place, dislocation
- 09h00: Appel - Procession Saint Oger
- 13h00: Rentrée de la Compagnie sur la place, dislocation
- 14h30: Départ de la Compagnie pour Hymiée, défilé dans les rue d'Hymiée
- 16h00: Rentrée de la Compagnie au Sartia (Gerpinnes)
- 18h00: Rentrée de la procession Sainte Rolende, ouverte par la Compagnie Saint Oger d'Hanzinne
- 20h00: Commandemant de la décharge devant la tribune d'honneur
- 09h00: Appel
- 09h15: Messe Militaire
- 10h00: Dépôt de fleurs au Monument aux Morts
- 10h30: Réception chez Monsieur le Curé
- 11h30: Réception chez les autorités communles
- 12h30: Réception chez le Docteur Demanet
- Après-midi: Réception chez les différents officiers
-
Rue du Baty
Rue de Gerpinnes
-
Rue Vieux Martin
Rue des Combattants
-
Sur les Marchés
Rue du Ban
Rue Mau Medot
Rue Mau Blampain
Rue Lauricot
Rue des Combattants
Place Saint Georges
Rue Gognat
Rue Saint Oger
Chappelle Saint Oger
-
Rue Saint Oger
Rue de Gerpinnes
Place d'Hanzinne
Rue des Combattants
Rentrée de la Châsse Saint Oger et des Drapeaux dans l'Eglise Saint Georges
Place Saint Georges
Rue Gognat
-
Rue de Gerpinnes
Place d'Hanzinne
Rue des Combattants
-
Rue des Combattants
Rue d'Hanzinne
-
Rue d'Hanzinne
Chapelle Notre-Dame des Affligés, décharge
Rue des Combattants
Eglise Saint Georges, décharge
Fusion des deux Compagnies
Rue des Combattants
Place d'Hanzinne
Rue Saint Oger
Chapelle Saint Oger, décharge
Départ de la Châsse Sainte Rolende vers Tarcienne. Celle-ci est uniquement accompagnée des Pélerins
Pour les Compagnies d'Hanzinne et d'Hymiée:
Rue Saint Oger
Rue de Gerpinnes
Place d'Hanzinne
Rue des Combattants
Eglise Saint Georges, rentrée de la Châsse Saint Oger
Place Saint Georges
Rue Gognat
Place d'Hanzinne, décharge
-
Place d'Hanzinne
Rue des Combattants
Eglise Saint Georges, sortie de la procession
Rue des Combattants
Rue Lauricot
Rue Mau Blampain
Chapelle de la Sainte Famille, décharge
Rue Mau Médot
Rue du Ban
Scission de la Compagnie:
-
- Grand Tour Saint Oger: Pélerins et quelques Marcheurs
-
Rue du Ban
Passage dans le bois
Vieux Chemin de Namur
-
Rue Sainte Barbe
Sur les Marchés
Chapelle Sainte Barbe, décharge
Sur les Marchés
Chapelle Saint Quirin, décharge
Sur les Marchés
Rue Gognat
Place d'Hanzinne
Bivouac en attendant l'arrivée de la procession au lieu dit la barrière
Rue Gognat
Rue Saint Oger
Chapelle Saint Oger, offrande, décharge
Rue Saint Oger
Rue de Gerpinnes
Place d'Hanzinne
Rue des Combattants
Eglise Saint Georges, rentrée de la procession
Place Saint Georges
Rue Gognat
-
Rue Villa des Roses
Chappelle Sainte Rolende, passage devant les reliques
Rue Joseph Caramin
Rue Alfred Mengeot
Rue Napoléon Anrys
Rue Fernand Bernard
Rue Joseph Beaufayt
Rue Amand Histace
Rue Albert 1er
Rue Albert Bernard
Eglise Saint Michel
Place des Combattants
Parc Saint Adrien
-
Rue Albert 1er
Rue Albert Bernard
Décharge et Brabaçonne; départ de la Fanfare vers la rue Amand Histace
Rue de la Régence
Avenue Reine Astrid, décharge au monument aux Marcheurs
Dislocation de la Compagnie
-
Place d'Hanzinne
Rue des Combattants
Données en date du 05/12/2005
Eglise
Eglise Saint-Georges
Oeuvre réalisée par: Caroline Jacqmin
Lien vers l'hagiographie du saint patron de l'Eglise
Dates de sortie indicatives, l'ASBL Musée des Marches Folkloriques de l'Entre-Sambre-et-Meuse ne peut être tenue responsable en cas d'erreur.
Il se peut que la date de sortie ne coïncide pas forcément à la date thérorique de sortie. Ceci peut être lié à un évènement exceptionnel (élections) ou à une indisponibilité des costumes à la date du calendrier perpétuelle